En plus de ces formes particulières de leasing propres à ces deux secteurs, nous avons le Leaseback.

Dans ce cas de figure, l’entreprise a acheté ses biens et les a payés.
Elle contracte alors un contrat de leasing, quelques temps après, pour régénérer sa trésorerie.

Il y a ensuite la Cession-Bail qui se présente à peu près comme le Leaseback à la seule différence que l’opération se passe concomitamment à sa livraison.

Dans le cas du Venture Lease, développé en Angleterre à la fin des années 90, le loueur prend une participation au capital du locataire.
Cette forme a quasiment disparu.
En effet, l’equity est un métier à part entière, d’audit et d’analyse ; le leasing en est un autre, utilisant le scorring certes, mais centré sur la recommercialisation des équipements et l’estimation de leur valeur future (NEGOCE).

En ce qui concerne le Hire-Purchase, que l’on trouve dans certains pays anglo-saxons, le propriétaire est toujours le lessor, en revanche celui qui amortit est le lessee.

Enfin, nous avons le Lease-coaching ou le Servicing : le loueur propose ses services (scorring, gestion, facturation, recouvrement, …) en marque blanche pour le compte d’une autre entreprise (fabricants, voire même banques). C’est ainsi que de nombreuses banques proposent du leasing via une de leur marque ou filiale, mais le servicing est fait par… une autre société, parfois même concurrente !